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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 09:29

** Faire une liste des courses à effectuer et ne pas déroger.

** Prendre un petit panier : il va déborder vite et va limiter les excès.

** Débuter par le fond du magasin, là où les produits essentiels s’y trouvent.

** Faire le tri dans les coupons de promotions et autres offres et ne garder que les récentes.

** Pour ne pas céder à l’achat impulsif, laisser les enfants à la maison.

** La calculette est utile pour vérifier le prix à l’unité.

** Les rayons sont souvent déplacés : faire attention à ne pas faire trop de découvertes.

** Vigilance : 9€99 fait presque 10€.

** Attention aux fausses « bonnes affaires » et les produits dits « familiaux » toujours plus chers, que ceux achetés à l’unité.

** Arrivé à la caisse : réfléchir et éliminer les articles non importants.

** Les cartes de fidélité : des vrais pièges, sauf celles qui sont gratuites et qui rapportent des petits chèques de réduction.

** Choisir paiement comptant et bannir le paiement à crédit.

** Pour vivre heureux longtemps, suivre l’adage : Savoir compter ne nuit pas à la santé..

Économiser, optimiser, faciliter
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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 09:44

Mon crédo : « Être maître de soi en toutes circonstances ». paysage 2012

L’aventure humaine m’a appris à m’adapter à des circonstances imprévues.

 

Depuis février de l’an 2010 j’ai pris la décision de devenir coach de vie et en épargne familiale. Les deux aspects sont indissociables. Et en m’appuyant sur mes études universitaires en économie de santé et mes expériences, je vous propose : d’organiser vos dépenses de manière innovante.

 

Ma méthode englobe également une stratégie concrète : aider à perdre des kilos et dire non au tabac.

 

Comment : la motivation repose sur l’économie ?

 

Notre volonté s’accroit dès qu’on est intéressé financièrement : un paquet de cigarette par jour c’est plus de 2500€ par an. Ni patch, ni médicament : il suffit de remplacer une habitude par une autre, saine et économique. C’est efficace.

Refuser les régimes alimentaires coûteux et illusoires, sans pour autant prôner les privations et les frustrations : de façon à obtenir des résultats durables.

 

J’interviens à Nantes et dans l’agglomération en séances individuelles, confidentielles ou en groupes. Devis gratuits et personnalisés.

 

Diana Atanassova - coach familial Nantes

 

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 09:23
La lumière du soleil et la vitamine D

La vitamine D a été découverte à partir de l’étude sur une maladie : le rachitisme.

Cette maladie était traitée par la prise d’huile de foie de morue. Ce n’est qu’en 1920 que l’étude de cette huile permet de découvrir la vitamine D.

La vitamine D est une vitamine liposoluble, qui peut donc être stockée dans le corps. Une petite partie de la vitamine D nécessaire au fonctionnement de l’organisme est apportée par l’alimentation, mais la plus grande partie est produite directement par le corps, à l’aide de la lumière du soleil.

La vitamine D regroupe en réalité un ensemble de 5 vitamines D différentes, mais les plus connues et utilisées sont : la vitamine D2 ou calciférol et la vitamine D3 ou cholécalciférol.

Les vitamines D sont peu répandues dans la nature et leur apport alimentaire joue, chez l’adulte, un rôle secondaire : seulement 20% environ de la quantité totale de vitamine D provient de l’alimentation.

L’essentiel de la vitamine D est issu de la production endogène (produite par le corps), d’origine cutanée. C’est pour cette raison que la vitamine D n’est pas à proprement parler une vitamine, même si on la classe dans cette catégorie. D’un point de vue fonctionnel, il s’agirait plutôt d’une hormone.

Ainsi, la vitamine D2 résulte de la transformation, par activation photochimique (avec l’aide de la lumière), de la provitamine D2 ou ergostérol, alcool composant l’ergot de seigle.

Et la vitamine D3, principale forme présente dans les cellules de notre organisme, est produite dans la peau sous l’action des rayons solaires ultra-violets.

La vitamine D est une vitamine liposoluble (soluble dans les graisses) et thermostable (résistante à la chaleur). Elle est en revanche sensible à la lumière, aux acides, aux alcalis et à l’oxydation de l’air.

Absorbée dans l’intestin grêle de manière passive, elle rejoint la circulation générale par voie lymphatique. Ses sites de stockage sont : le foie, la peau, les reins, la rate, les muscles, le tissu adipeux et le sang.

Pour résumer :

  • 20% de la vitamine D provient de l’alimentation
  • 80% est produite par le corps à partir de la lumière du soleil

Il faut signaler que la peau ne peut fabriquer de vitamine D que lorsque la longueur d’onde des ultraviolets B est inférieure à 313 nanomètres. Or, la France ne reçoit pas de tel rayonnement entre novembre et février. Il convient donc durant cette période de prendre un supplément lorsqu’on est un sujet à risque.

La vitamine D est surtout connue pour son action sur les os. Elle participe à la fixation du calcium sur les os et les dents. Elle est donc essentielle à la croissance du squelette.

La vitamine D intervient de manière très importante dans le processus d’ossification par plusieurs mécanismes :

  • Au niveau intestinal, elle stimule l’absorption du calcium et du phosphore en réglant leurs teneurs dans le sang.
  • Au niveau de l’os, elle assure la fixation du calcium et du phosphore de manière à favoriser la minéralisation du squelette.
  • Au niveau du rein, elle augmente la réabsorption tubulaire du calcium.

Ces actions conjointes permettent une meilleure croissance et une bonne consolidation de l’os et des dents, ce qui induit une prévention de l’ostéoporose et des fractures.

  • La vitamine D prévient l’apparition du rachitisme, surtout dans les pays où l’ensoleillement est peu important.
  • La vitamine D est essentielle au bon fonctionnement neuromusculaire.
  • Elle est indispensable à la coagulation sanguine en stimulant l’agrégation plaquettaire.
  • Elle participe à la régulation cardiaque.
  • La vitamine D renforce le système immunitaire. Elle agit notamment comme protection pour le système immunitaire de la peau et améliore sa structure, conservant ainsi l’intégrité des différentes couches et participant alors au maintien de l’hydratation.

La vitamine D n’est pas très présente dans l’alimentation courante. Ce n’est pas très gênant car seule une petite partie de la vitamine D provient de l’alimentation.

Les sources de vitamine D2 sont d’origine végétale : les champignons, les levures, les céréales, les légumes verts crus, les huiles végétales.

On retrouve la vitamine D3 dans les produits d’origine animale : les huiles de foie de poisson (flétan, morue), le jaune d’œuf, le foie d’animaux, les poissons gras (saumon, maquereau, sardines,..), le lait enrichi (lait entier, lait de soja), le beurre, certains fromages.

Une carence en vitamine D peut avoir de graves effets sur la santé. Chez l’enfant elle peut provoquer le rachitisme (problèmes osseux et neurologiques) et chez l’adulte, la carence se traduit par une déminéralisation des os.

Une hypovitaminose D due à une carence d’apport est rare. Seuls les végétaliens, qui ne consomment ni viandes, ni œufs, ni poissons et ni produits laitiers, ont plus de risque d’être en déficit alimentaire.

La carence en vitamine D est essentiellement causée par un manque d’exposition au soleil. Ainsi, elle se manifeste plus souvent durant la période hivernale, dans certaines parties du monde où l’ensoleillement est moindre, ou bien chez des personnes qui voient peu le soleil (les malades, les personnes âgées, les invalides).

La carence en vitamine D entraîne une diminution de l’absorption intestinale du calcium et du phosphore, et entrave la fixation du calcium au niveau de l’os. Ce qui a pour effet de provoquer une déminéralisation continue des os et des dents par abaissement du taux de phosphore et de calcium, et caractérisée par des troubles de l’ossification.

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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 09:37

filles kilos 2012

 
 

     Les acides gras essentiels sont des acides gras (les composants des graisses) que le corps ne peut pas produire ou alors en quantité insuffisante. Ils doivent donc être apportés par l’alimentation.

Ces acides gras essentiels sont classés en deux catégories :

 

  • Les omégas 3
  • Les omégas 6

On les retrouve dans toutes les graisses animales, le poisson et les huiles végétales.

S’ils sont consommés en trop grande quantité, les acides gras sont stockés par le corps sous la forme de tissus adipeux.

A noter que les acides gras nécessitent la présence de nombreux autres éléments chimiques pour accomplir leur action. Ils ont notamment besoin de zinc, de magnésium, de sélénium, ainsi que de B et C.

Ils existent deux catégories : les omégas 3, dont une partie peut être produite par le corps, et les omégas 6, très présents dans notre alimentation occidentale, car les huiles usuelles en sont riches.

Liste des omégas 3 :

Les principaux acides gras essentiels principaux omégas 3 sont :

  • l’ALA (acide alpha-linolénique)
  • l’EPA (acide eicosapentaénoïque)
  • le DHA (acide docosahexaénoïque)

L’ALA se retrouve dans les aliments suivants : les noix, l’huile de colza et les graines de lin.

L’EPA et le DHA peuvent être produits par le corps à partir de l’ALA, mais il est aussi possible de les trouver sous forme libre, directement dans les poissons gras, ainsi que dans les produits des animaux nourris à partir de lin ou de colza, et qui ont synthétisé ces acides gras : viande, œufs, lait.

Liste des omégas 6 :

Les principaux acides gras essentiels omégas 6 sont :

  • le AL (acide linoléique)
  • le AGL (acide gamma-linolénique)
  • le ADGL (acide dihomo-gamma-linolénique)
  • l’AA (acide arachidonique).

Les omégas 6 sont très présents dans les huiles végétales (tournesol, palme) et dans les produits (viande, œufs, lait, beurre) des animaux nourris au maïs ou au soja, deux céréales riches en omégas 6.

Les huiles d’onagre et de bourrache sont aussi très riches en acides gras omégas 6. Les acides gras essentiels sont des éléments clefs pour le bon fonctionnement du corps.

Ils ont de nombreuses propriétés :

Le premier rôle des acides gras essentiels est de participer à la constitution des cellules. Au même titre que les protéines, les acides gras sont les briques du corps, ils entrent dans la composition des membranes des cellules et assurent leur élasticité, leur résistance et leur cohésion.

 

Ce rôle de construction des cellules, se retrouve dans la beauté de la peau. Un manque en acide gras provoque une sécheresse de l’épiderme et une perte de l’élasticité. Les fabricants de cosmétiques l’ont bien compris, en intégrant de l’huile de bourrache ou d’onagre dans les crèmes et autres produits pour la beauté et la souplesse de la peau.

Toujours grâce à ce rôle, les acides gras participent à l’élasticité et la solidité des capillaires et des vaisseaux sanguins.

 

Leur rôle dans la construction des cellules est essentiel pendant la grossesse et l’allaitement. Pour permettre un bon développement du fœtus et de l’enfant, il est primordial que l’apport en acides gras essentiels soit suffisant chez la mère.

 

Autres propriétés des acides gras essentiels :

  • Ils participent à la production de molécules anti-inflammatoires et au fonctionnement du système immunitaire.
  • Les AGE aident aussi au métabolisme du cholestérol et de certaines substances chimiques, comme les prostaglandines. Les prostaglandines sont des régulateurs de nombreux processus chimiques : la tension artérielle, l’agrégation des plaquettes sanguines pour stopper les saignements.
  • Et bien entendu, les acides gras, en tant que composés lipidiques, sont d’importants fournisseurs d’énergie pour les cellules.
Bon et mauvais Acides Gras fruitoct2012

Mauvais Acides Gras : Les mauvais acides gras se retrouvent plus particulièrement dans les graisses animales ou végétales hydrogénées. Ils sont solides à température ambiante et fondent à la chaleur.

 

Ces mauvaises graisses sont très présentes dans les plats industriels, les biscuits et viennoiseries, et notamment dans tous les produits à base d’huile de palme. Cette matière grasse est devenue en quelques années l’huile la plus utilisée dans le monde, de part son faible coût. Le problème est que cette huile hydrogénée n’est pas bonne pour la santé. De plus, une fois cuite, les bons acides gras qui pourraient être contenus dans ces huiles sont détruits, par la chaleur.

 

Les huiles de fritures sont sources de nombreux maux et en partie responsables de la recrudescence des problèmes cardio-vasculaires dans nos sociétés occidentales.

 

Bons Acides Gras :

 

Les bons acides gras sont des graisses insaturées et liquides à température ambiante.

Ils ont de nombreuses propriétés dont la construction des cellules, l’élasticité des vaisseaux sanguins et de la peau. Les omégas 3 et 6 font partie des bons acides gras.

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 09:57

corbeille fruit.2012

   La vitamine C est la vitamine la plus conseillée par les médecins, notamment à l’approche de l’hiver ou en cas de fatigue passagère. Une consommation de 5 fruits et légumes frais permet d’apporter chaque jour une quantité suffisante de vitamine C.

  La vitamine C, aussi appelée acide ascorbique est une vitamine hydrosoluble, que le corps ne sait ni stocker ni fabriquer et qui doit être apportée quotidiennement par l’alimentation.

 
 

 

 

  La longue liste des rôles et actions de la vitamine C :

 

- La vitamine C a une action anti-oxydante lui permettant de neutraliser les radicaux libres responsables du vieillissement cellulaire et un rôle sur la régénération de la vitamine E, principal antioxydant de notre organisme. Leur association permet donc de mieux lutter contre le vieillissement prématuré de nos cellules.

 

- Elle contribue au renforcement du système immunitaire et stimule les défenses de l’organisme vis-à-vis des infections microbiennes de part son action sur la synthèse des anticorps et sa présence dans les globules blancs.

 

- L’acide ascorbique possède également un effet antiviral en favorisant la synthèse de l’interféron, ce qui lui permet de combattre certains cancers et leucémies et de lutter contre les autres maladies graves.

 

- La vitamine C favorise l’absorption digestive et l’utilisation du fer, ce qui contribue à accélérer la formation des globules rouges et donc de diminuer les risques d’anémie.

 

- Chez l’enfant, l’acide ascorbique intervient dans le métabolisme intermédiaire de la proline, de l’adrénaline, de la tyrosine et des stéroïdes.

 

- La vitamine C favorise la formation du collagène, protéine indispensable à la construction et la restauration des tissus tels que la peau, le cartilage, l’os, les dents, les muscles, les vaisseaux sanguins retardant ainsi leur vieillissement.

 

- L’acide ascorbique intervient dans la synthèse de la noradrénaline, qui permet une meilleure réactivité aux chocs et une meilleure concentration, et intervient dans de nombreuses sécrétions hormonales.

 

- La vitamine C intervient dans le métabolisme des lipides et favorise l’assimilation et la fixation du calcium dans l’os, et intervient dans la respiration cellulaire en tant que transporteur d’hydrogène.

 

- Elle a une activité antitoxique : elle transforme les métaux lourds, les substances cancérigènes (pesticides, toxines apportées par la pollution de l’air telles que le monoxyde de carbone et le dioxyde de soufre, celles apportées par le tabagisme comme les goudrons et la nicotine) et les toxines diverses en sels solubles, facilement éliminables par l’organisme.

 

- La vitamine C a une action tonifiante et anti-fatigue.

 

- Des études cliniques préliminaires indiquent que la vitamine C aurait des effets anti-histaminiques : elle aurait la propriété de prévenir la production d’histamine et de réduire l’inflammation.

 

- Elle améliorerait la qualité du sperme et augmenterait le nombre de spermatozoïdes.

-fruits-et-legumes kilos

 

Sources alimentaires de vitamine C.

 

La vitamine C est une vitamine présente en abondance dans l’alimentation à condition de consommer suffisamment de fruits et légumes frais.

 

On la trouve essentiellement dans les végétaux, les fruits et les légumes frais :

  • Les fruits frais : particulièrement les agrumes tels que l’orange, le citron, le pamplemousse, la mandarine, mais aussi les fruits rouges : la fraise, la framboise, le cassis, la groseille, la cerise, la mangue, la goyave, le kiwi, le melon, l’abricot. Parmi les fruits courants, les plus riches en vitamines C sont la cerise acérola et le kiwi.
  • Les légumes frais : les légumes verts tels que les épinards, le cresson, le persil, les haricots verts, les petits pois, la tomate, le poivron rouge et vert, l’asperge, l’aubergine, le navet, le poireau, le radis, l’oignon, l’artichaut et les différentes variétés de choux : chou-fleur, choux de Bruxelles, chou vert, brocoli.
  • Les pommes de terre, les graines, mais uniquement si elles sont germées.

La vitamine C est présente en moindre quantité dans les aliments d’origine animale : les abats (foie), la viande (bœuf, porc), la volaille (canard), le poisson (saumon, thon), les crustacés (huîtres), le lait.

 

Carences en vitamine C :

 

Une carence en vitamine C peut avoir de graves répercutions sur la santé, pouvant mener à la mort. Le scorbut est une maladie grave, provoquée par un manque de vitamine C. Pour éviter cette maladie, il est nécessaire d’apporter au moins 10 mg de vitamine C par jour.

 

Chez le nourrisson, des carences s’observent uniquement chez ceux qui sont nourris artificiellement avec des laits pasteurisés (la pasteurisation détruit la vitamine C) ou des farines sans suppléments vitaminiques.

Chez l’adulte, des troubles s’observent après quelques mois de régime carencé chez des personnes ayant une alimentation constituée exclusivement de produits de conserve, sans apport de végétaux frais.

 

Excès de vitamine C :

 

La vitamine C n’étant pas stockée par l’organisme, les risques pour la santé sont très faibles. Même à des doses élevées la vitamine C sera sans effet indésirable chez la plupart des gens.

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 09:12

tomates 2013

 

 

  La vitamine B12 est une vitamine hydrosoluble, résistante à la chaleur puisqu’elle ne fond qu’à 300°C et elle est 

inactivée par la lumière et les solutions hautement acides ou basiques. Elle est également hygroscopique : elle absorbe l’humidité de l’air. Il faut donc la conserver à l’abri de l’air et de toute source d’humidité. 

 

  La vitamine B12 est absorbée dans l’intestin grêle, en présence de calcium et après liaison avec une protéine synthétisée et sécrétée par la muqueuse gastrique.

Elle est surtout emmagasinée dans le foie qui en contient de 2 à 3 mg (60%), ce qui constitue une réserve considérable et permet de répondre aux besoins de l’organisme pendant 3 à 5 ans. Une partie de la vitamine B12 restante est stockée dans le cerveau.

 

  La vitamine B12 participe à la fourniture d’énergie, comme toutes les vitamines du groupe B, mais aussi à la croissance des cellules et à la synthèse d’ADN.

Roles et actions de la vitamine B 12 :

- Sous la forme de coenzyme, la vitamine B12 a une action dans la reproduction des cellules et leur croissance : notamment dans celles du tube digestif, du système nerveux et de la moelle osseuse.

 

- C’est un anti-anémique puissant, responsable de la formation des globules rouges (dans la moelle osseuse) et de leur qualité.

 

- Et elle participe au bon fonctionnement du système nerveux, en ayant une action favorable sur la gaine de myéline qui protège les nerfs.

 

- La vitamine B12 intervient dans la synthèse de l’ADN.

 

- Elle a un rôle antalgique, anabolisant et détoxifiant (elle participe à l’élimination des toxines).

 

- Elle est essentielle à la synthèse de la méthionine et de la choline (acides aminés).

 

- La vitamine B12 est nécessaire au métabolisme des glucides, des lipides et des protéines et permet ainsi une production d’énergie.

 

- Elle permet l’assimilation du fer.

 

- Elle est douée de propriétés anti-allergiques.

 

- La vitamine B12 aide à prévenir la formation d’homocystéine (acide aminé soufré) dans le sang, en association le plus souvent aux vitamines B6 et B9.

 

- Elle est essentielle au bon fonctionnement du cerveau en augmentant la vitesse de sa réaction.

 

 

  La vitamine B 12 est fleurs avr..2012présente prinicipalement dans les aliments d'origine animale

  Les aliments riches en vitamine B12 sont : les abats (foie, rognons), la viande (mouton, veau, porc), la volaille, le poisson, les crustacés, les produits laitiers (sauf le beurre), le jaune d’œuf.

 

  Dans la nature, la vitamine B12 est synthétisée par des bactéries ou des champignons. Bien que les aliments d’origine végétale (ceux qui en contiennent sont déjà rares) soient intéressants, il faudrait donc qu’ils soient cultivés biologiquement et sur un sol enrichi en cobalt ou en engrais naturel. De plus, dans les végétaux, elle est présente sous une forme qui n’est pas absorbée par l’organisme.

 

  On en trouve aussi d’infimes quantités dans : la levure alimentaire, certaines algues (la spiruline), certaines céréales (blé, avoine, orge), certaines légumineuses (lentilles, pois chiches, pois secs), certains légumes et fruits secs, le nuoc-man (sauce à base de poisson), le soja.

  Les carences en vitamine B 12 peuvent produire une anémie ou des allergies.

   Une carence d’apport : dans les cas de malnutrition ou dans les pays industrialisés. Et surtout chez les végétariens et les végétaliens.

 

 - Des troubles digestifs : nausées, constipation, colites, inflammation de la langue, diminution des défenses immunitaires, des douleurs musculaires, des allergies.

 

   La vitamine B12 est une vitamine atoxique, c’est-à-dire que même en cas de consommation excessive, les risques pour la santé sont très faibles.

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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 09:10

vacances tahiti argent

Mon amie Laure a l’exécrable tendance à faire chauffer la carte bancaire dès qu’une jolie fringue lui fait un clin d’œil, alors que ses placards regorgent déjà d’une dizaine de paires d’escarpins, de vêtements jamais portés. Son armoire pleure et s’étouffe, car elle n’a pas d’espace pour respirer.

Et que dire de son petit compte bancaire qui vire trop souvent au rouge et de ce bizarre sentiment d’insatisfaction qui lui fend le cœur ?

 

 

Elle est une véritable toxico dans le domaine, ma copine. Et elle franchit trop souvent la frontière fragile qui sépare le shopping plaisir de l’achat obsédant.

Laure ne dit rien, ravale souvent son amertume et souffre en silence de son obsession de l’achat, des dépenses fréquentes et répétées d’objets souvent inutiles et qui dépassent ses capacités financières.

 

La jeune femme, avec qui je partage une amitié remarquable, ne sait pas comment se débarrasser de son sentiment d’éternelle insatisfaite.

 

Sous le couvert de ces achats futiles, Laure trouve souvent une consolation à son mal-être. Elle me parle des vertus incroyables et symboliques d’un objet repéré (le rouge à lèvre qui rend sexy, la robe fendue qui va rendre jalouse-dingue la belle Adriana K.).

Alors qu’après le moment d’exaltation la déception est au rendez-vous et la quête effrénée de l’objet-sauveur reprend de plus belle.

 

Laure est entrée dans un cercle vicieux. Comment lui apprendre et sans la vexer à se contrôler avant de devenir une véritable acheteuse compulsive ?

  • Laure : Tu m’écoutes ? Je suis ta meilleure amie :

* Avant une virée shopping tu vas laisser ta carte bancaire à la maison. Et tu ne sortiras qu’avec de la petite monnaie et peu d’espèces dans ton porte-monnaie. Et quand c’est dépensé, c’est dépensé : ok ?

 

* Tu établiras un budget : à l’aide des relevés bancaires, que tu consulteras régulièrement. Tu surveilleras de manière hebdomadaire la santé de tes comptes.

 

* Allons voir : T’es-tu posé les bonnes questions avant de dégainer ? :

 

* As-tu réellement besoin de ce nouveau mascara, de ce fond de teint, de ce dernier parfum ? N’as-tu pas d’autres besoins plus vitaux à régler : le loyer, les factures de téléphone, de l’EDF, de GDF ? Les impôts que tu n’as pas fait prélever automatiquement ? Et le contrôle technique de la voiture ?

librairie

* Te sentiras-tu vraiment mieux après avoir dépensé tant sans même regarder les prix ?

 

* Où est ton agenda des dépenses ?

 

* Tiens-tu scrupuleusement, jour par jour, ton journal de dépenses ? Essaies-tu de comprendre si tu te rends compte que tu as acheté des choses inutiles sur une pulsion ? Et pourquoi ? Et que tu réfléchiras à deux fois lors de ta prochaine virée.

 

* Je peux ouvrir ton armoire ? Merci. On fait les comptes. Avec ses 25 paires de sandales–tongs-sabots-bottes tu pourrais t’offrir une semaine dans un Riad au Maroc.

 

* Et les 10 boites de crèmes antirides toutes entamées ? (quel gaspillage !) Tu aurais pu aller voir une amie à moi qui tient un salon d’esthétique et de relaxation. Elle aurait pu te faire des soins de visage, des masques, des peelings et tutti quanti.

 

* Il ne te plairais pas de te faire dorloter pendant un mois (une séance par semaine x4) ? Ça ne te fait pas réfléchir ? Combien de pots de crème de visage te faudrait-il par mois ? Et déjà : tu n’as pas de rides !

 

* Faisons un test si tu veux ? On part, sans moyen de paiement, faire du lèche-vitrine pour le simple plaisir des yeux. Si l’on repère quelque chose qui nous plaît, on attend quelques jours pour savoir si cet objet nous manque vraiment ou si l’envie est passée.

 

* Vérifies-tu toujours s’il est possible de rendre gratuitement un article avant de l’acheter ? Si tu craques malgré tout, tu sauras que tu pourras le rapporter sans avoir à être dans le rouge.

  • Faisons plutôt un tour pour voir si tu tiens tant à l’acheter. (Je suis certaine que si nous allions boire un petit café dans le bistro en face, tu oublieras vite fait ton envie de gaspiller. Un café coûte moins qu’un kilo de bananes…. Et puis, jusque là ça a toujours marché.)

 

  • Je peux t'aider Laure : c'est mon job.   Je suis coach familal à Nantes.
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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 17:35

pommes 2013

 

 

Radine ? Moi ? Dépensière ? Oh, non ! En aucun cas !

 

 

  La tendance est à la réduction des dépenses et je veux savoir où part mon argent ? Comment faire pour mettre un peu de côté ?

  • Je dépense : c’est comme si je faisais une fugue. Je flambe sans penser aux conséquences. Donc, la première chose à faire c’est d’anticiper, de programmer.
  • Je décompte le loyer (ou le crédit de l’achat de logement), les impôts, les mutuelles de santé, les factures EDF-GDF, eau, les abonnements téléphones et internet, les petits crédits, etc. Ceci me permet de savoir ce qui me reste pour le mois en cours afin d’envisager l’impact alimentaire, l’habillement, les petites sorties.

  Ce bilan me permet également de prévoir des réserves. Et je n’oublie pas de mettre de côté et d’alimenter mon livret A.

  • Je rationalise les dépenses, je les maîtrise.
  • Je cache ma carte bleue et je paye cash pour matérialiser les achats. Et j’arrive à retomber dans la réalité.
  • Je place sur des Plan épargne logement, Livret de développement durable, Livret d’épargne populaire. Je ne perds pas de l’argent, j'en gagne. Je deviens « riche » en quelque sorte. C’est de l’épargne passive : l’argent travaille tout seul et rapporte en fin d’année.

À trop se priver, on craque. Être toujours fourmi n’est pas agréable. Et si je craque pour une robe, une paire de chaussures, d’autres achats raisonnables, je ne deviens pas pour autant cigale.

 

Je me rassure, car je ne fais pas ça tout le temps. Je me dis que c’est légitime. Et une fois le besoin assouvi, je l’intégre dans mon budget mensuel. Cette démarche m’oblige à ne pas recraquer.

 

Je garde le contrôle sur la cigale en faisant appel à la fourmi.

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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 15:29

dauphins argent

L’achat compulsif : épisodes permanents ou compulsifs des comportements qui poussent à acheter des objets utiles ou inutiles. Et que se passe-t-il après ?

  • L’euphorie se termine par la culpabilité
  • Le désir est celui de l’acquisition et non de la possession
  • Le désir de ressembler à une autre personne reste inassouvi

Les femmes achètent des vêtements, des chaussures, des meubles etc. Et les hommes : du matériel électronique (DVD, CD, informatique, accessoires auto). Des objets souvent entreposés et oubliés.

« C’est joli. C’est une occase ! Ca peut servir !»

« C’est plus fort que moi ! »

  • La tentation est irrésistible !
  • Pourquoi dépense-t-on sans compter ?
  • Par quel moyen résister à sa propre frénésie d’achat ?
  • Comment faire pour arrêter ce gaspillage inutile ?

C’est si simple ! Il faut juste apprendre à contrôler ses désirs, contrôler ses besoins.

 

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Présentation

  • : Diana Atanassova
  • : coach en épargne familiale
  • Contact

Mes prestations

diana3

Organiser vos dépenses de manière innovante et efficace

Dire stop aux kilos

Arrêter de fumer en douceur 

Organiser des achats ou des voyages avec les économies que vous allez faire. Se faire plaisir !

 

- Territoire d’investigation : Nantes et périphérie ; déplacement à domicile
- Devis gratuit et personnalisé

Pour les tarifs et prestations, merci de me consulter.

Diana : dianacoaching@yahoo.fr

 

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